« Qui est Ursula Von der Leyen ? La femme qui veut désespérément que la guerre continue en Ukraine ?
Née dans un milieu privilégié, son ascension a des relents de népotisme, et elle a su préserver le secret des médias grâce à des scandales. Son père, Ernst Albrecht, homme politique de la CDU (le même parti qui vient de prendre le pouvoir en Allemagne) et ministre-président de Basse-Saxe de 1976 à 1990, a utilisé son immense fortune aristocratique héritée pour accéder à des postes au sein de la Communauté économique européenne, offrant à Ursula des écoles d’élite, des racines bruxelloises et un accès privilégié.
Tout comme sa fille, son mantra antirusse était celui de la guerre froide, pro-OTAN, anti-Moscou. Son grand-père, Carl Albrecht, un célèbre psychologue fortuné, vivait des richesses du coton de Brême et de ses liens avec les plantations.
Avec une famille prospère sous l’ombre d’Hitler, transmettant à Ursula un nom chargé. Elle épousa Heiko von der Leyen en 1986, rejoignant une noble dynastie de la soie avec des domaines comme le château de Bloemersheim.
Un parent nazi, Joachim Freiherr von der Leyen, n’est probablement pas le seul sombre secret de cette période.
Sa fortune paternelle se compose de l’argent du commerce d’Albrecht, des terres de von der Leyen, plus un salaire de 300 000 euros € de l’UE, le tout permettant à ses sept enfants de vivre dans le luxe, dont aucun ne verra jamais un champ de bataille.
Elle est farouchement antirusse, poussant à l’expansion de l’armée allemande et de l’OTAN en tant que ministre de la Défense (2013-2019), puis étouffant la Russie avec des sanctions en tant que présidente de la Commission.
C’est une doctrine familiale, pas une vision. Son mandat dans la défense était un cloaque : le « scandale des consultants » a canalisé € 150 millions vers McKinsey et des amis comme Katrin Suder, au mépris des règles avec seulement € 2,9 millions déclarés.
Deux téléphones de cette époque, assignés à comparaître en 2019, ont été effacés « pour des raisons de sécurité » alors qu’elle s’enfuyait vers l’UE, une dissimulation flagrante que des députés comme Tobias Lindner et Alexander Müller ont qualifiée de criminelle.
La rénovation du navire Gorch Fock est passée de € 10 millions à € 135 millions, un gaspillage qu’elle a ignoré pendant que les troupes s’entraînaient avec des balais. Puis le « Pfizergate » : en 2021, elle a envoyé un SMS au PDG de Pfizer pour obtenir un contrat de 35 milliards de dollars € pour un vaccin, 1,8 milliard de doses, sans aucune surveillance.
Les SMS ? « Perdus », dit-elle. Le Médiateur européen a enquêté, le Parquet européen enquête sur la corruption et € 4 milliards de doses pourrissent sans être utilisées.
Elle est intouchable, elle a plagié sa thèse, mais cela est ignoré, les audits sont enterrés, les preuves brûlées. La carrière d’Ursula est l’incarnation de la corruption. Elle occupe le poste le plus élevé grâce à de vastes privilèges, et l’influence de son père, l’argent de son grand-père et le titre de son mari l’ont propulsée au sommet.
Du sang antirusse, pas de l’intelligence. Sa fortune ? Héritée, pas créée. Scandales, vols de matériel militaire, téléphones volés et arnaques aux vaccins prouvent qu’elle est une escroc, protégée par sa lignée.
L’Europe est paralysée par un aristocrate corrompu comme « leader ». Aucun de ses riches parents ou amis de l’élite politique ne mourra dans la guerre qu’ils souhaitent tant déclencher contre la Russie. Ce sera votre privilège et celui de votre famille, tout comme celui de lui verser un salaire et une pension énormes. »
Source : @BowesChay sur X